Dans notre histoire, les changements de trajectoire sont souvent le fait d’événements mineurs comme l’a bien montré Edgar Morin dans la Voie : « Tout commence toujours par une initiative, une innovation, un nouveau message de caractère déviant, marginal, souvent invisible aux contemporains ». Et c’est exactement cela que nous raconte Stephen Greenblatt dans l’ouvrage Quattrocento (dont le titre anglais the Swerve signifie ...
La Région Nouvelle-Aquitaine a lancé l’appel à projet RSE pour accompagner les entreprises dans la concrétisation de leurs engagements vers un développement durable par une démarche d’amélioration continue. Une opportunité pour améliorer votre performance grâce à la Responsabilité Sociétale. Nos experts pluridisciplinaires sont à vos côtés pour poser le cadre d’une stratégie RSE pertinente dans votre secteur en tenant compte de votre culture d’entreprise.
Après une vie à la fois d’ingénieur, de scientifique (généticien) et de militant, il veut partager ses questionnements, ses convictions, ses craintes et ses espoirs. Pour cela il s’adresse à un de ses futurs arrière-petits-enfants qui sera adolescent en 2025.
Il nous propose de faire un exercice de lucidité sur les impasses dans lesquels nous sommes engagés : l’impasse de la finitude, l’impasse de la myopie libérale, l’impasse de la valeur, l’impasse de l’unidimensionnalité, l’impasse des financiers, l’impasse du chômage...
La monétarisation permet de donner une valeur (Euro) aux impacts environnementaux générés par une activité. Évaluer monétairement ce que rapporte un service écosystémique fait prendre conscience de sa valeur économique, en utilisant une unité qui parle à tous. De plus en plus d’entreprises souhaitent également mieux connaitre les impacts directs et indirects de leur production. L’idée avec le principe de monétarisation étant d’aller au-delà des indicateurs courants, comme le calcul des émissions de CO2.
S’engager dans une démarche RSE pour une entreprise, c’est réfléchir comment créer de la valeur pour toutes ses parties prenantes, en prenant du recul pour identifier grands enjeux environnementaux et sociétaux qui vont structurer le futur. Cette démarche peut et doit se faire en s’appuyant sur le système de management en place dans l’entreprise.
En 1933, Einstein avait partagé ses réflexions dans un ouvrage « Comment je vois le monde » et il avait parlé de la réduction du temps de travail . « Ce même progrès technique qui pourrait libérer les hommes d’une grande partie du travail nécessaire à leur vie, est le responsable de la catastrophe actuelle », disait-il alors.
Un livre qui fourmille d’études de cas, de données ou de graphiques d’une très grande qualité. C’est un argumentaire illustré et captivant, qui permet de bien saisir les enjeux de la réduction du temps de travail face à des injonctions idéologiques du type « travailler plus pour gagner plus ».